Histoire.
D’autre part, il faut se rappeler que depuis la décade des années 60, on peut apprécier l’exode des paysans vers la ville. Une grande partie de la population paysanne a émigré vers les zones urbaines qui demandaient la main d’œuvre. Il y a eu aussi des déplacements vers les côtes qui à l’époque commençaient le processus accéléré d’urbanisation dû à la croissance du tourisme.
Ce phénomène est présent à San Miguel de Abona depuis les années 70 du dernier siècle. Les changements sont devenus plus accentués dans les zones côtières telles que Las Chafiras, Guargacho , Golf du sud et Amarilla du Sud qui avec les quartiers de las Zocas et Aldea Blanca réunissaient le 54% de la population de San Miguel.